[FR] Spider-Man #59
Spider-Man #59 "Dans La Peau Du Lézard" (FR) - Marvel France (décembre 2004)
> Spectacular Spider-Man (Vol.2) #11 "Dans La Peau Du Lézard (1) (The Lizard's Tale, Part.1)" | Scénario : Paul Jenkins - Dessin : Damon Scott (mai 2004)
> Spectacular Spider-Man (Vol.2) #12 "Dans La Peau Du Lézard (2) (The Lizard's Tale, Part.2)" | Scénario : Paul Jenkins - Dessin : Damon Scott (mai 2004)
> Venom #13 "Le Cobaye (3) (Patterns, Part.3)" | Scénario : Daniel Way - Dessin : Francisco Herrera & Sean Galloway (juin 2004)
> Spider-Girl #45 "Doubles Vies (Secret Lives!)" | Scénario : Tom DeFalco - Dessin : Pat Olliffe (mai 2002)
Spectacular Spider-Man (Vol.2) #11&12 : Début d'un nouvel arc de Spectacular avec le retour du docteur Curt Connors dont l'alter ego n'est autre que le Lézard. Si le premier est un ami proche de Peter Parker (dont il connait l'identité secrète), le second est l'un de ses plus farouches adversaires. Petit rappel, le Dr. Connors a perdu un bras sur un champ de bataille et de retour au pays, a entrepris d'étudier la faculté des lézards de faire repousser leur queue quand ils perdent celles-ci. Il finit par mettre au point un sérum qui lui permet certes de retrouver un second bras mais qui le transforme en bête sanguinaire aux allures de lézard géant.
Curt a perdu sa femme d'un cancer quelques mois auparavant et s'enfonce dans la dépression (d'autant plus qu'il n'arrive pas à affronter le regard de son fils de 10 ans qui le tient pour responsable de la mort de sa mère). Désespéré, il espère obtenir une petite bourse dans une université pour pouvoir mener ses expériences sur le cancer mais il est doublé par l'arrogant Richardson qui fait des études beaucoup moins ambitieuses.
Un soir, Connors, qui a depuis quelques temps et malgré l'aide de son psy et de Peter, de plus en plus de mal à maintenir le Lézard en lui, va trouver Richardson. S'ensuit une bagarre qui entraîne l'explosion du laboratoire et la mort de Richardson. Spider-Man arrive sur les lieux quelques minutes trop tard et ne peut que constater la présence du Lézard sur les lieux de la catastrophe. Une fois Connors revenu à lui, celui-ci soutient à Peter que tout ce n'est qu'un accident. Dubitatif mais donnant à son ami le bénéfice du doute, Parker le conduit à l'abris sous la statue de la Liberté.
Pendant ce temps, un veilleur de nuit remet une cassette vidéo montrant que le Lézard a en fait un alter-ego humain et que Spider-Man en connait l'identité. Quel effet va avoir cette révélation sur le Dr. Connors déjà fort perturbé ?
Le scénario de Paul Jenkins a un petit goût de nostalgie pas désagréable, ça avance ni trop vite ni trop lentement et on finit par se faire au dessin de Damon Scott (nettement plus doué pour dessiner les personnages costumés que les humains normaux). Au moins ce nouvel arc sait-il faire naître chez le lecteur une certaine attente quant à sa progression, ce qui n'est pas le cas de la série suivante...
Venom #13 : On continue cet arc parfaitement incompréhensible et sans intérêt. De mystérieux scientifiques continuent d'étudier l'ADN du symbiote à l'origine de Venom pour le compte d'une non moins mystérieuse organisation. Limités par les échantillons qui leur ont été fournis, ils sont coincés et demandent à étudier un échantillon vivant... Bien évidemment, le vilain petit gros chauve à moustache va leur balancer le symbiote à la gueule et celui-ci se fera un plaisir de les traquer et de les tuer un par un.
Nick Fury est envoyé pour s'occuper de Venom (sans Eddy Brock je le rappelle) et demande de l'aide à l'humanoïde extraterreste à cheveux blancs présent au début de l'arc. En gros macho militaire demeuré qu'il est, Fury envoie bien évidemment Red Richards sur les roses et méprise son nouveal allié...
Mon dieu que c'est nul. Vraiment rien de bon à tirer de cet arc où se succèdent les massacres (même pas spécialement drôles) : Venom est traqué par l'extra-terrestre, Venom lui échappe, Venom mange des gens. Il y a un vilain chauve bizarre qui massacre tous ceux qui l'aident. Et il y a une humaine qui n'a rien demandé qui traîne au milieu de tout ça. J'ai beau bien aimé Herrera (encore qu'il ne s'occupe pas de tout) je ne saurais conseiller qu'une chose : passer son chemin...
Spider-Girl #45 : Déjà qu'à la base, c'est pas trop la joie pour May (entre la mort de Crazy Eight dont elle se sent responsable et la grossesse de sa mère en fauteuil roulant), on a forcé son casier et voler le sac où elle avait caché son costume de Spider-Girl. En plus, son paternel (le Spider-Man des origines dixit l'intro) veut reprendre du service pour l'aider, pfoulala que c'est dur la vie d'adolescente ! Surtout que vla-t-y pas que surgit une nouvelle Spider-Girl et qu'un vieil ennemi refait surface.
Dur... Déjà, le dessin de Pat Ollife n'est vraiment pas grandiose. Il me fait penser aux dessins de Spider-Man publié dans Nova quand j'étais petit (et j'aimais pas, je préférais la version publiée dans Strange). Et puis cette histoire d'univers parallèle où Peter Parker a raccroché le justeaucorps pour laisser la place à sa fille May, j'ai du mal : les ennemis sont souvent grotesques, le propos très teen movie mais sans le fun et les enfants de super héros ou super villains de l'univers classiques qui peuplent l'univers de "May Day" (le surnom civil de Spider-Girl)... J'ai vraiment du mal à lire cette série : le rythme, le dessin, l'univers, tout me dérange et sonne kitch au possible.
> Spectacular Spider-Man (Vol.2) #12 "Dans La Peau Du Lézard (2) (The Lizard's Tale, Part.2)" | Scénario : Paul Jenkins - Dessin : Damon Scott (mai 2004)
> Venom #13 "Le Cobaye (3) (Patterns, Part.3)" | Scénario : Daniel Way - Dessin : Francisco Herrera & Sean Galloway (juin 2004)
> Spider-Girl #45 "Doubles Vies (Secret Lives!)" | Scénario : Tom DeFalco - Dessin : Pat Olliffe (mai 2002)
Spectacular Spider-Man (Vol.2) #11&12 : Début d'un nouvel arc de Spectacular avec le retour du docteur Curt Connors dont l'alter ego n'est autre que le Lézard. Si le premier est un ami proche de Peter Parker (dont il connait l'identité secrète), le second est l'un de ses plus farouches adversaires. Petit rappel, le Dr. Connors a perdu un bras sur un champ de bataille et de retour au pays, a entrepris d'étudier la faculté des lézards de faire repousser leur queue quand ils perdent celles-ci. Il finit par mettre au point un sérum qui lui permet certes de retrouver un second bras mais qui le transforme en bête sanguinaire aux allures de lézard géant.
Curt a perdu sa femme d'un cancer quelques mois auparavant et s'enfonce dans la dépression (d'autant plus qu'il n'arrive pas à affronter le regard de son fils de 10 ans qui le tient pour responsable de la mort de sa mère). Désespéré, il espère obtenir une petite bourse dans une université pour pouvoir mener ses expériences sur le cancer mais il est doublé par l'arrogant Richardson qui fait des études beaucoup moins ambitieuses.
Un soir, Connors, qui a depuis quelques temps et malgré l'aide de son psy et de Peter, de plus en plus de mal à maintenir le Lézard en lui, va trouver Richardson. S'ensuit une bagarre qui entraîne l'explosion du laboratoire et la mort de Richardson. Spider-Man arrive sur les lieux quelques minutes trop tard et ne peut que constater la présence du Lézard sur les lieux de la catastrophe. Une fois Connors revenu à lui, celui-ci soutient à Peter que tout ce n'est qu'un accident. Dubitatif mais donnant à son ami le bénéfice du doute, Parker le conduit à l'abris sous la statue de la Liberté.
Pendant ce temps, un veilleur de nuit remet une cassette vidéo montrant que le Lézard a en fait un alter-ego humain et que Spider-Man en connait l'identité. Quel effet va avoir cette révélation sur le Dr. Connors déjà fort perturbé ?
Le scénario de Paul Jenkins a un petit goût de nostalgie pas désagréable, ça avance ni trop vite ni trop lentement et on finit par se faire au dessin de Damon Scott (nettement plus doué pour dessiner les personnages costumés que les humains normaux). Au moins ce nouvel arc sait-il faire naître chez le lecteur une certaine attente quant à sa progression, ce qui n'est pas le cas de la série suivante...
Venom #13 : On continue cet arc parfaitement incompréhensible et sans intérêt. De mystérieux scientifiques continuent d'étudier l'ADN du symbiote à l'origine de Venom pour le compte d'une non moins mystérieuse organisation. Limités par les échantillons qui leur ont été fournis, ils sont coincés et demandent à étudier un échantillon vivant... Bien évidemment, le vilain petit gros chauve à moustache va leur balancer le symbiote à la gueule et celui-ci se fera un plaisir de les traquer et de les tuer un par un.
Nick Fury est envoyé pour s'occuper de Venom (sans Eddy Brock je le rappelle) et demande de l'aide à l'humanoïde extraterreste à cheveux blancs présent au début de l'arc. En gros macho militaire demeuré qu'il est, Fury envoie bien évidemment Red Richards sur les roses et méprise son nouveal allié...
Mon dieu que c'est nul. Vraiment rien de bon à tirer de cet arc où se succèdent les massacres (même pas spécialement drôles) : Venom est traqué par l'extra-terrestre, Venom lui échappe, Venom mange des gens. Il y a un vilain chauve bizarre qui massacre tous ceux qui l'aident. Et il y a une humaine qui n'a rien demandé qui traîne au milieu de tout ça. J'ai beau bien aimé Herrera (encore qu'il ne s'occupe pas de tout) je ne saurais conseiller qu'une chose : passer son chemin...
Spider-Girl #45 : Déjà qu'à la base, c'est pas trop la joie pour May (entre la mort de Crazy Eight dont elle se sent responsable et la grossesse de sa mère en fauteuil roulant), on a forcé son casier et voler le sac où elle avait caché son costume de Spider-Girl. En plus, son paternel (le Spider-Man des origines dixit l'intro) veut reprendre du service pour l'aider, pfoulala que c'est dur la vie d'adolescente ! Surtout que vla-t-y pas que surgit une nouvelle Spider-Girl et qu'un vieil ennemi refait surface.
Dur... Déjà, le dessin de Pat Ollife n'est vraiment pas grandiose. Il me fait penser aux dessins de Spider-Man publié dans Nova quand j'étais petit (et j'aimais pas, je préférais la version publiée dans Strange). Et puis cette histoire d'univers parallèle où Peter Parker a raccroché le justeaucorps pour laisser la place à sa fille May, j'ai du mal : les ennemis sont souvent grotesques, le propos très teen movie mais sans le fun et les enfants de super héros ou super villains de l'univers classiques qui peuplent l'univers de "May Day" (le surnom civil de Spider-Girl)... J'ai vraiment du mal à lire cette série : le rythme, le dessin, l'univers, tout me dérange et sonne kitch au possible.